samedi 2 novembre 2013

Faux Médiums ! Attention... Danger...

Par les temps qui courent, beaucoup de personnes se prétendent médiums et abusent de désespoir de personnes endeuillées en leur révélant des soi-disant messages reçus de leurs défunts et je ne peux pas rester de marbre devant une telle ignominie pour nous médiums professionnels. Alors soyez vigilant et méfiant de ces post-médiums qui prétendent recevoir des messages de vos défunts. Jamais un message délivré n'aura une teneur négative, seules les entités du bas astral en sont les instigateurs. 

Nous savons que tous les êtres sont plus ou moins médiums à des degrés différents, même ceux chez qui la médiumnité n'est pas développée. Il y a beaucoup de médiums, mais à des degrés différents. Il faut beaucoup de temps, de patience, de persévérance, tant de choses, qu'il vaut mieux laisser agir les personnes qui apportent cette faculté de l'au-delà, si les premières recherches sont infructueuses. Il faut qu'il y ait affinité de fluides et d'affection, constitution très sensible, presque aimantée. Quand le moment est venu, l'esprit parle, se manifeste. Seul l'Esprit peut trouver son médium et provoquer la médiumnité. 

Les médiums de naissance ont une médiumnité riche qui est travaillée depuis leur naissance, en vertu des conventions faites avant l'incarnation. On ne s'en souvient plus. L'excès du désir peut nuire à la médiumnité. Les médiums peuvent échanger entre deux plans, comme les guides échangent avec des plans supérieurs. Chaque médium a son domaine, sa spécialisation, etc. Les missionnaires sont médiums d'esprits plus élevés. Cependant, chaque être attire dans ses auriques toutes formes occultes en rapport dynamique avec ses propres énergies, ses propres aspirations. La médiumnité requière un état psychico-physique* et elle ne peut pas s'extraire, on ne pourrait la rendre à son intensité vraie et complète, qu'en faisant un cadre de Beauté, de Lumière et de Passivité. Pour cela, il  faudrait dès leur jeunesse reconnaître les médiums, or ils n'ont pas de marques spéciales. Les esprits n'agissent que dans le sens des facultés latentes.

Dans chaque contact, l'invisible donne des preuves particulières au médium lors du message reçu ! Une médiumnité vraiment riche est l'acquis de plusieurs vies d'existences...

    Rose     

*Psycho-Physique : C'est une polarisation particulière des cils vibratoires entre les deux corps qui permet que l'antenne médiumnique écoute, reçoive, entende, voit et agisse.

vendredi 24 mai 2013

"LE JOUR Où JE ME SUIS AIME"

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J'ai compris qu'en toutes circonstances,
J'étais à la bonne place, au bon moment,
Et alors, j'ai pou me relaxer.
Aujourd'hui, je sais que àa s'appelle
ESTIME DE SOI

Le jour où je me suis aimé pour de vrai
J'ai pu percevoir que mon anxiété
Et ma souffrance émotionnelle
N'étaient rien d'autre qu'un signal
Lorsque je vais à l'encontre de mes convictions
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle
AUTHENTICITÉ

Le jour où je me suis aimé pour de vrai
J'ai cessé de vouloir une vie différente 
Et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive
Contribué à ma croissance personnelle
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle
MATURITÉ


Le jour où je me suis aimé pour de vrai
J'ai commencé à percevoir l'abus
Dans le fait de forcer une situation ou une personne
Dans le seul but d'obtenir ce que je veux
Sachant très bien que ni la personne, ni moi-même ne sommes prêts
Et que ce n'est pas le moment
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle
LE RESPECT

Le jour où je me suis aimé pour de vrai
J'ai commencé à me libérer
De tout ce qui n'était pas salutaire
Personnes, situations
Tout ce qui baissait mon énergie
Au début, ma raison appelait ça de l'égoïsme
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle
AMOUR PROPRE 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai
J'ai cessé d'avoir peur du temps libre
Et j'ai arrêté de faire de grands plans
J'ai abandonné les méga-projets du futur
Aujourd'hui, je fais ce qui est correct
Ce que j'aime
Quand ça me plaît et à mon rythme
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle
SIMPLICITÉ 

Le jour où je me suis aimé pour de vrai
J'ai cessé de chercher à toujours avoir raison
Et me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé
Aujourd'hui, j'ai découvert
L’HUMILITÉ



i
Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
J'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir
Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe
Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois et ça s'appelle
PLÉNITUDE

Le jour où je me suis aimé pour de vrai
J'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir
Mais si je la mets au service de mon coeur
Elle devient un allié très précieux
Tout ceci est ...
SAVOIR VIVRE

Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter
Du chaos naissent les étoiles.

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Un texte d'un homme qui a su rester simple malgré qu'il soit arrivé au sommet ...

  Texte De Mr CHARLIE CHAPLIN 

samedi 23 février 2013

Lettre d'adieu de l'écrivain colombien Gabriel Garcia Marquez Prix Nobel de littérature



L’écrivain colombien Gabriel Garcia Marquez, Prix Nobel de littérature et auteur, entre autres, du roman Cent ans de solitude, est atteint d’un cancer, à l’âge de 77 ans. Il a envoyé une lettre d’adieu à ses amis qui est très touchante. 




Si pour un instant Dieu oubliait que je suis une marionnette en chiffon et qu'il m'offrait un morceau de vie, je profiterais de ce temps le plus possible.
Je m'habillerais simplement, me déshabillerais sous le soleil, en laissant à nu non seulement mon corps, mais aussi mon âme. Je prouverais aux hommes combien ils se trompent en pensant qu'on ne tombe plus amoureux en vieillissant et qu'ils ne savent pas qu'on vieillit lorsqu'on cesse de tomber amoureux. Je donnerais des ailes à un enfant, mais je le laisserais apprendre à voler seul. J'enseignerais aux vieux que la mort ne vient pas avec l'âge, mais avec l'oubli.

J'ai appris que tout le monde veut vivre au sommet de la montagne, sans savoir que le véritable bonheur réside dans la manière de l'escalader. J'ai appris que quand un nouveau-né serre fort de son petit poing, pour la première fois, la main de sa mère ou de son père , il la retient pour toujours. J'ai appris qu'un homme n'a le droit d'en regarder un autre de haut que pour l'aider à se lever.

Si je savais que je te vois dormir aujourd'hui pour la dernière fois, je t'embrasserais très fort et je prierais Dieu pour pouvoir être le gardien de ton âme. Si je savais que ce sont les dernières minutes où je te vois, je te dirais «je t'aime», sans présumer bêtement que tu le sais déjà.

Il y a toujours un lendemain et la vie nous donne une autre occasion de faire bien des choses, mais si jamais je me trompe et que je n'ai plus que ce jour, j'aimerais te dire combien je t'aime et que je ne t'oublierai jamais. Le lendemain n'est garanti à personne, qu'il soit jeune ou vieux. Aujourd'hui peut être le dernier jour où tu vois ceux que tu aimes. N'attends pas, fais-le aujourd'hui, car si demain ne vient pas, tu regretteras sûrement de n'avoir pas pris le temps d'un sourire, d'une caresse, d'un baiser, car tu étais trop occupé pour pouvoir faire plaisir.

Garde près de toi ceux que tu aimes, dis-leur combien tu as besoin d'eux, aime-les et traite-les bien, prends le temps de leur dire "je regrette", «pardonne-moi", "s'il te plaît", "merci", et tous les mots d'amour que tu connais. Personne ne se souviendra de toi pour tes pensées secrètes. Demande à Dieu la force et la sagesse de les exprimer.
Montre à tes amis et aux êtres chers combien ils sont importants pour toi

Source: Gabriel Garcia Marquez 
 
 "J’ai l’espoir que les gens ne prendront pas ce qui est dit comme la vérité, mais la découvriront par eux-mêmes, parce que la vérité n’est pas dite, elle est réalisée." 
Ne prenez rien pour vérité. La vérité, votre âme la connait, car la vérité ne s’enseigne pas « elle est ».
Prenez l’habitude d’écouter votre sagesse intérieure. Vous avez votre Libre arbitre. Ne discutez jamais une intuition. Suivez-là. L’univers est gigantesque ! La vie dans l’univers est au-delà de l’imagination humaine ! Vous ne concevez qu’une infime partie de ce que peut être la vie.


jeudi 21 février 2013

Des joyaux inestimables

Une ancienne légende arabe raconte qu'un sage homme vivait heureux avec sa famille, une épouse admirable et deux fils chéris. Un jour il dût entreprendre un long voyage de plusieurs jours, et pendant son absence un grave accident provoqua la mort de ses deux fils tant aimés.
La mère sentait son cœur lourd de douleur. Toutefois, étant une femme forte et sage, soutenue par la foi et la confiance en Dieu, elle supporta le drame avec bravoure et dignité.
Elle avait cependant une grande préoccupation à l'esprit : Comment annoncer la triste nouvelle à son mari ? Il avait le cœur fragile et elle avait peur qu'il ne supporte pas le choc. Alors se tournant vers Dieu, elle Lui demanda de l'aider à se sortir de cette triste situation.
Les jours passèrent et son mari rentra de voyage. Il embrassa son épouse et lui demanda des nouvelles de ses deux fils. Elle lui dit qu'ils auraient le temps d'en parler à dîner, mais qu'il prenne d'abord un bon bain.
Après le bain, à table, elle lui demanda comment s'était passé son voyage. Mais il lui demanda encore des nouvelles de ses fils. L'épouse embarrassée lui répondit : - Laisse les garçons. Avant je voudrais que tu m'aides à résoudre un problème qui me parait très important. - Alors, parle, nous allons résoudre ce problème ensemble, lui dit le sage homme. - Quand tu étais absent, un ami est passé nous rendre visite et nous a laissé en garde deux bijoux d'une valeur inestimable, mais ces bijoux sont si merveilleux, que je m'y suis attachée et je n'ai pas très envie de les lui rendre, qu'en penses-tu ?

Le mari lui répondit : - Je ne comprends pas ton comportement. Tu n'as jamais été attirée par ces choses d'apparat, et combien même tu le serais, ces bijoux ne t'appartiennent pas et tu dois les rendre. - Mais je n'arrive pas à me faire à l'idée de les perdre, lui répondit l'épouse.
Le mari lui rétorqua : - On ne peut pas perdre ce que l'on n'a jamais possédé. Tu vas rendre ces bijoux, nous allons le faire ensemble aujourd'hui même.
Sa femme lui répondit : - Très bien mon époux, qu'il soit fait comme tu le veux. Les deux
merveilleux bijoux seront rendus à celui qui nous les avait confiés. En vérité c'est déjà fait, car ces bijoux inestimables étaient nos deux fils tant aimés, que Dieu a rappelés à lui.
Le sage homme comprit le message, enlaça sa femme, et sans désespoir ni révolte ils laissèrent couler leurs larmes.

Anonyme

vendredi 25 janvier 2013

Histoire d’un papillon


Un jour apparut un petit trou dans un cocon ; un homme qui passait à tout hasard s’arrêta de longues heures à observer le papillon qui s’efforçait de sortir par ce petit trou.

Après un long moment, c’était comme si le papillon avait abandonné, et le trou demeurait toujours aussi petit. On dirait qu’il avait fait tout ce qu’il pouvait, et qu’il ne pouvait plus rien faire d’autre.

Alors l’homme de l’aider. Il prit un canif et ouvrit le cocon. Le papillon sortit aussitôt. Mais son corps était maigre et engourdi; ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine.

L’homme continua à observer, pensant que d’un moment à l’autre les ailes du papillon s’ouvriraient et seraient capables de supporter son corps pour qu’il prenne son envol. Il n’en fut rien ! Le papillon passa le reste de son existence à se traîner avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais il ne put voler.

Ce que l’homme, avec son geste de gentillesse et son intention d’aider, ne comprenait pas, c’est que le passage du trou étroit du cocon était l’effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre à ses ailes le liquide de son corps, de manière à pouvoir voler. C’était le moule à travers lequel la vie le faisait passer pour grandir et se développer.
Parfois l’effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie. Si l’on nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d’obstacles, nous serions limités. Nous ne pourrions être aussi forts que nous le sommes. Nous ne pourrions jamais voler.


J’ai demandé la force... et la vie m’a donné des difficultés pour me rendre fort.

J’ai demandé la sagesse... et la vie m’a donné des problèmes à résoudre.

J’ai demandé la prospérité... et la vie m’a donné un cerveau et des muscles pour travailler.

J’ai demandé de pouvoir voler… et la vie m’a donné des obstacles à surmonter.

J’ai demandé l’amour... et la vie m’a donné des gens à aider dans leurs problèmes.

J’ai demandé des faveurs... et la vie m’a donné des potentialités.

Je n’ai rien reçu de ce que j’avais demandé… mais j’ai reçu tout ce dont j’avais besoin !


Vis la vie sans peur, dans la conscience que tout est parfait, affronte tous les obstacles et démontre que tu peux les surmonter.

dimanche 20 janvier 2013

Un autre ailleurs.


Regardez la vie qui vous sourit.
Si parfois le chagrin vous envahie.
Écoutez le souffle du vent ce qu’il vous dit.

Chassez ces nuages embrumant votre route.
Ôtez ses sentiments de tristesse qui ne sèment que le doute.
Dispersez vos regrets et mettez-les en déroutes.

Cherchez le sens exact de cette souffrance.
Laissez-vous immerger par ces moments de silence.
Sans pour autant vous torturer l’esprit de cette absence.

Même si dans votre cœur la joie n’y est plus.
Remémorez-vous les jours heureux vécus.
En effleurant du doigt ce Bonheur absolu de l’avoir connu.

Parti pour le grand voyage.
Sans billet retour, envolés vers d’autres rivages.
En attendant de les retrouver sans l’équivoque d’un mirage.

La vie nous file entre les doigts.
Alors vivez, riez avant que la mort vous tutoie,
Et vous happent au passage, comme le vautour guette sa proie.

Soupirs éphémères ! Rien ne sert de jeter un regard en arrière,
Tourner la page du livre comme si c’était la dernière.
En savourant chaque seconde à la vitesse des années-lumière.

Savourez la vie en y ajoutant quelques ritournelles
Aussi légère qu’une plume d’ailes
Naître et renaître, indéniable évolution éternelle.

Naître et renaître... Mourir pour vivre.


Reçu en écriture médiumnique le 17 janvier 2013
Rose

dimanche 6 janvier 2013

Mon enfant intérieur


Je t’ai cherché depuis tant d’années
Je n’ai de cesse erré sur ces chemins escarpés
Espérant te voir, je t’ai tant espéré.

Pourtant j’ai exploré mille endroits,
Fouillant, espérant je ne sais quoi
Avec rage et fureur... Trop de pleurs à la fois

Ne sachant vraiment où te chercher
Sans me soucier de ces signes criant de vérité
Il m’a fallu beaucoup de courage pour avancer.

Être sensible, je te savais pas loin de moi.
Seul cet espoir mythifié de ma Foi
Trace indélébile me liant à une fluette voix

 
Je me suis fait violence, de cette souffrance exacerbée
Sacré temps… Existence d’un précieux allié
Sobre discernement, pour tout assimiler.

Cachée tu l’étais, mais force de patience lénifiée
De mon for intérieur et par soif d’acuité
Blotti au fond de mon être, je t’ai enfin trouvé

Mon enfant intérieur, ma source de joie
Je t’ai étreint si fort contre moi
Heureuse d’avoir goûté à tant d’émoi

Enfin libéré de ce poids accumulé
Remettre du sens à cette vie volée
Respirer cette liberté tant méritée.

Poème médiumnique reçu le 4 octobre 2012
♥ ♥ ♥ Rose ♥ ♥ ♥