Affronter la mort et revenir à la vie !

On ne ressort jamais indemne d'une telle expérience, le cours de votre vie est changée à jamais......

Mon "AmiAnge" veille sur vous
Nous avons vécu mon mari et moi une situation inconcevable ou je peux affirmer : « Mon fils était mort, il est revenu. »  Le 8 décembre 2000, notre petit garçon âgé de 14 mois jouait à l’extérieur avec sa sœur. La nuit tombant, je demandais à ma fille de 12 ans de rentrer, ce qu’elle fit immédiatement. Franchissant le seuil de la maison, notre fils pleurait, il traversa la pièce d’une seule traite, la bouche grande ouverte d’où aucuns sons ne sortaient, il se dirigea droit sur moi. Arrivé à mes pieds, il s’écroula. Je le pris dans mes bras, il ne respirait plus, il avait les lèvres bleues, ce qui m’a le plus frappée c’est cette couleur grisâtre, le même teint ; 1 an auparavant, lors de sa bronchiolite aggravée. Je criais, hurlais pour qu’il revienne, rien n’y faisait, j’ai crié à mon mari, Lilian ne respire plus. Mon époux bondit du canapé, prit notre fils par les pieds et je le revois lui assener de grosses tapes dans le dos, mais il ne réagissait pas. On questionnait sa sœur qui l’avait fait rentrer en lui demandant s’il n’avait pas avalé un caillou ? Elle nous dit que non, qu’il ne voulait pas rentrer et que malgré son refus, elle l’a obligé et là il s’est mis à pleurer. Je me ruais sur le téléphone et j’appelais les pompiers, j’avais un mal fou à trouver mes mots, je paniquais, hurlais, leur disant qu’ils ne comprenaient rien, ils me posaient un tas de questions et  inlassablement je leur répétais que mon fils ne respirait plus et qu’il ne revenait pas,  j’étais dans un état second, mes larmes, mes sanglots ne faisaient qu’empirer la discussion, je cherchais mes mots en vain.  Ma fille ainée prit le combiné et conversa avec les pompiers en leur communiquant les informations qu’ils demandaient. Je ne sais plus exactement, mais il me semble qu’à un moment, mon mari m’avait redonné mon fils ou  peut être c’était moi qui lui avait repris mais aucun signe de vie ne transparaissait, je vivais l’inconcevable, l’insoutenable. Nous étions désemparés, complètement acculé devant une telle fatalité. Cela ne pouvait pas nous arriver, à nous…. J’implorais, mais rien n’y faisait, mon petit homme gisait dans mes bras tel un pantin désarticulé et ne revenait pas à la vie. Ma fille ainée raccrocha le téléphone en nous disant que
les pompiers arrivaient.  Mélanie avait fait du secourisme, elle me prit Lilian et entoura son frère de ses bras, plaqua son dos contre son torse et plaça un de ses poings fermés entre le nombril et l'extrémité inférieure du sternum, enfonça fortement son poing vers le haut, elle recommença ce geste 3 ou 4 fois afin qu’il puisse rejeter ce qui pourrait éventuellement lui obstruer la trachée et l’empêcher de respirer. Mais rien ne sortait. Je ne saurais dire combien de temps c’est écoulé, cela m'a paru une éternité…  A l’arrivée des pompiers, ceux-ci ont pris la situation en mains et comme par miracle, notre fils a ouvert tout doucement ses yeux et ses joues récupéraient peu à peu leurs couleurs roses. Entre le début ou il s’est effondré et le moment ou il a ouvert les yeux, 4 à 5 minutes se sont écoulées. En 2001 j’ai eu l’opportunité de rencontrer Madame Michèle RIFFARD en consultation privée, de tous les médiums que j’ai vu, elle est la seule à m’avoir dit ceci :
 
-     « Qui c’est qui était mort dans vos bras, Madame ? Il était comme mort, il est vivant maintenant. Je le voyais mort et vivant, je ne comprenais pas. Je vous donne les choses que j’ai, je n’aime pas tricher. » (Madame Michèle Riffard)

Tout est exact, Madame Michèle est la seule à l’avoir vu. Ce jour là elle a réveillé un traumatisme bien enfoui. Pendant des années nous nous sommes tus, comme si rien n’était arrivé. Pourtant un jour mon fils m’a dit, « Tu sais maman, j’étais mort, mais je suis revenu. » Par deux fois on me remettait cette vérité en pleine face. Comment expliquer l’indicible ? Cet événement a modifié ma manière d’aborder la vie. Cela m’a révélé de façon violente que nous sommes si vulnérables, à l’abri de rien. Je garde à l’esprit que la mort peut nous jouer un sale tour en ne respectant pas la logique établit et que des parents peuvent enterrer leur enfant ! Cette issue fatale qui peut tous nous concerner un jour fait que nous devrions vivre chaque jour comme si c’était le dernier.  La phase de deuil requiert du temps, un cheminement long, difficile et douloureux. C’est accepter l’absence du défunt tout en réapprenant à vivre différemment. Je reste convaincue qu’on doit accompagner les personnes endeuillées, elles franchiraient les étapes du deuil en se sentant écoutées, soutenues et entourées. Cela leur permettrait à surmonter cette épreuve en apprenant à accepter sans pour autant oublier. Le fait d'en parler les aiderait à libérer leur souffrance et retrouver avec le temps une certaine sérénité.
Pourquoi notre fils nous a été rendu ? Je n’ai pas la réponse. Par contre j’ai beaucoup appris de cette expérience. J’ai commencé à me poser des questions, à me documenter, à lire un tas d’ouvrages sur des personnes qui ont fait des EMI, qui ont frôlé la mort. J’ai épuré tous les livres de Raymond Moody, Elisabeth Kluber Ross, Marie de Hennezel. Ce qui j’ai trouvé intéressant c’est que souvent les personnes confrontées à de telles expériences éprouvent le besoin de changer ou de remettre de l’ordre dans leur vie. Pour ma part, il m’a fallu du temps pour comprendre, depuis j’ai compris que tout ça  à un sens, Je continue à avancer tout en sachant pertinemment que la mort fait partie de la vie et j’ai  pris conscience que la vie est fragile, limitée. Pensez-y rien ne nous appartient, même pas la vie. Aujourd’hui notre fils va bien, en octobre dernier,  il a eu 13 ans !
 



Récit de Rose - mardi 20 février 2013 

Connaissez-vous Mickey Robinson ?

Cet homme est un miraculé ! Tenez-vous bien et écoutez ce témoignage incroyable sur la bonté de Dieu. Après un accident d'avion, cet homme Mickey Robinson, est mort sur son lit d'hôpital, la douleur de ses blessures était tellement insupportable que son corps n'a pu le supporter.
Lors de l'accident, le moteur de l'avion s'est arrêté, en plein vol, le crash a été très violent.

Un catholique dira qu' il a reçu une grâce de conversion. Mais surtout il n'ira pas jusqu'à proclamer qu' il était mort.

"Dieu vous bénisse, cet homme est mort et est revenu à la vie"  -  "Le ciel et l'enfer sont réels"          -  Témoignage de Mickey Robinson.